C’était au début de la décennie 80, le mouvement qui faisait rêver toute l’Afrique. Elle symbolisait la résistance à l’impérialisme et au néo-colonialisme. Elle était portée par de jeunes officiers voltaïques qui allaient changer le nom de leur pays pour en faire le pays des hommes intègres : le Burkina Faso.
C’était au début de la décennie 80, le mouvement qui faisait rêver toute l’Afrique. Elle symbolisait la résistance à l’impérialisme et au néo-colonialisme. Elle était portée par de jeunes officiers voltaïques qui allaient changer le nom de leur pays pour en faire le pays des hommes intègres : le Burkina Faso.
Nelson Mandela, qui depuis la prison de Pollsmoor, avait négocié avec les autorités sud africaines la paix dans le pays. © REUTERS/Mike Hutchings
A Tripoli, le 20 octobre 2011, après l’annonce de la mort de Mouammar Kadhafi. REUTERS/Ismail Zitouny
A Tripoli, le 20 octobre 2011, après l’annonce de la mort de Mouammar Kadhafi. REUTERS/Ismail Zitouny
Tripoli, le 8 juillet 2011. A l’issue des prières du vendredi, les partisans de Mouammar Kadhafi manifestent leur soutien (photo prise lors d’une sortie de presse organisée par le gouvernement).
Deux ans après le début de la révolution libyenne qui a eu raison de son régime, retour dans Archives d’Afrique sur la vie atypique de Mouammar Kadhafi.
Mouammar Kadhafi à Tripoli, le 1er septembre 2011.
Mouammar Kadhafi à Paris avec l’ancien président de la République française, Nicolas Sarkozy.