Moussa Traoré a dirigé le Mali d’une main de fer pendant plus de deux décennies suite au coup d’État qui renverse Modibo Keïta, le Père de l’indépendance. Sourd aux pressions pour l’instauration du multipartisme dans son pays, il est l’une des premières victimes du sommet franco-africain de La Baule en 1991, sommet durant lequel le président François Mitterrand conditionne le soutien de la France à un effort de démocratisation.
Moussa Traoré a dirigé le Mali d’une main de fer pendant plus de deux décennies suite au coup d’État qui renverse Modibo Keïta, le Père de l’indépendance. Sourd aux pressions pour l’instauration du multipartisme dans son pays, il est l’une des premières victimes du sommet franco-africain de La Baule en 1991, sommet durant lequel le président François Mitterrand conditionne le soutien de la France à un effort de démocratisation.
Moussa Traoré a dirigé le Mali d’une main de fer pendant plus de deux décennies suite au coup d’État qui renverse Modibo Keïta, le Père de l’indépendance. Sourd aux pressions pour l’instauration du multipartisme dans son pays, il est l’une des premières victimes du sommet franco-africain de La Baule en 1991, sommet durant lequel le président François Mitterrand conditionne le soutien de la France à un effort de démocratisation.
Moussa Traoré a dirigé le Mali d’une main de fer pendant plus de deux décennies suite au coup d’État qui renverse Modibo Keïta, le Père de l’indépendance. Sourd aux pressions pour l’instauration du multipartisme dans son pays, il est l’une des premières victimes du sommet franco-africain de La Baule en 1991, sommet durant lequel le président François Mitterrand conditionne le soutien de la France à un effort de démocratisation.
Le 7 novembre 1987, soit trente années après sa prise de pouvoir, le président Habib Bourguiba se voit destitué par son premier ministre Ben Ali qui remet en cause la lucidité du vieil homme de 84 ans. Un véritable « coup d’État médical » unique dans les annales du monde arabe.
Le 7 novembre 1987, soit trente années après sa prise de pouvoir, le président Habib Bourguiba se voit destitué par son premier ministre Ben Ali qui remet en cause la lucidité du vieil homme de 84 ans. Un véritable « coup d’État médical » unique dans les annales du monde arabe.
S’il est une chose qui fait vibrer l’Afrique entière au même diapason, c’est bien le football. Et cela, certainement, grâce à l’immense qualité des pionniers comme Salif Keïta qui, par leur talent, ont poussé le monde entier à s’intéresser à cette partie du globe et ont été un modèle pour des milliers de jeunes Africains dans les années 1970.A l’occasion de la Coupe d’Afrique des Nations, Archives d’Afrique revient sur le parcours de cette légende vivante du football.