Centrafrique 
Tchad 
Cameroun 
Gabon 
Congo 
Ghana 
Mali 
Niger 
Togo 
Nigéria 
Sénégal 
Afrique du Sud 
Angola 
Mozambique 
Zimbabwe 
Egypte 
Algérie 
Mauritanie 
Libye 
3. Mathieu Kérékou, la conférence nationale (5 & 6)
Mathieu Kérékou. DR
"Nul n'a le droit d'effacer une page de l'histoire d'un peuple car un peuple sans histoire est un monde sans âme." Alain FOKA
elodie mahop
2. Mathieu Kérékou, la révolution (3 & 4)
Ouagadougou, Burkina Faso. Sommet de la CEDEAO du 29 juin 1989. De g.à dr., les présidents Maaouiya Ould Taya (Mauritanie), Mathieu Kérékou (Bénin) et Abdou Diouf (Sénégal).
1. Mathieu Kérékou, le putsch de 1972 (1&2)
Le président français, François Mitterrand, est accueilli par le président béninois Mathieu Kerekou à Cotonou, au Bénin, le 16 janvier 1983.
4. Amilcar Cabral, l’assassinat
milcar Cabral, le fondateur du Parti africain pour l’indépendance de la Guinée et du Cap Vert (PAIGC), le 22 octobre 1971. Amilcar Cabral a été assassiné le 20 janvier 1973.
3. Amilcar Cabral, la riposte portugaise
Timbre-portrait d’Amilcar Cabral.
2. Amilcar Cabral, la lutte continue
Timbre-portrait d’Amilcar Cabral
1. Amilcar Cabral, la lutte pour l’indépendance
Amilcar Cabral, le fondateur du Parti africain pour l’indépendance de la Guinée et du Cap Vert (PAIGC), le 22 octobre 1971. Amilcar Cabral a été assassiné, le 20 janvier 1973.
4. Ahmed Ben Bella, l’Indépendance
Le président Bouteflika (D), la classe politique algérienne et de hauts dirigeants du Maghreb sont venus rendre un dernier hommage à Ahmed Ben Bella. Alger, le 13 avril 2012.
3. Ahmed Ben Bella, les années d’exil
Principaux dirigeants du FLN (de gauche à droite : Mohamed Khider, Mostefa Lacheraf, Hocine Aït Ahmed, Mohamed Boudiaf et Ahmed Ben Bella) après leur arrestation suite au détournement, le 22 octobre 1956 par l’armée française, de leur avion civil marocain.
2. Ahmed Ben Bella, les premières actions du FLN
Principaux dirigeants du FLN (de g. à dr.: Mohamed Khider, Mostefa Lacheraf, Hocine Aït Ahmed, Mohamed Boudiaf et Ahmed Ben Bella) après leur arrestation suite au détournement, le 22 octobre 1956 par l’armée française, de leur avion civil marocain.