Durant la nuit du 1er novembre 1954, les nationalistes algériens exilés au Caire passent à l’action. L’Algérie est secouée par une vague d’attentats. Cette « opération de la Toussaint » comme on l’appellera va faire découvrir au monde le visage d’Ahmed Ben Bella, que la presse française qualifie alors comme le « plus dangereux des agitateurs » algériens.