Tandis que la plupart des colonies françaises et anglaises accèdent en cascade à l’indépendance en cette année 1960, dans l’Afrique portugaise rien ne bouge. L’administration coloniale durcit même le ton en Angola et réprime systématiquement et impitoyablement les nationalistes. Les principaux leaders comme Agostinho Neto sont arrêtés et déportés. Le jeune José Eduardo dos Santos travaille lui aussi clandestinement, parmi les étudiants, au renversement de la domination coloniale portugaise.