Arrivé aux affaires au lendemain de la mort du président Agostinho Neto en cette fin d’année 1979, José Eduardo dos Santos est aussitôt confronté à la guerre qui secoue l’Angola. Six jours seulement après sa prise de pouvoir, le régime de Pretoria déclenche une attaque aérienne de grande envergure, avec pour principal objectif la destruction des infrastructures de la ville de Lubango.
À la recherche de solutions diplomatiques, Dos Santos va aussi devoir faire face à Washington qui arme son adversaire, le chef rebelle Jonas Savimbi.